éllo le vélo de Léo


Éllo, le fidèle vélo de Léo.

Oui, oui, le vélo lui-même — celui qui grince un peu dans les montées, file comme le vent dans les descentes, et surtout… qui a des histoires plein les rayons  !

J’ai décidé d’écrire mes lettres de route, alors, enfile ton casque et viens lire mes aventures. ,


Chapitre 1 - épisode 1

Éllo, le Vélo de Léo

Je vais commencer par vous dire bonjour. Oui, c’est à vous, lectrices et lecteurs, que je m’adresse. Permettez-moi tout d’abord de me présenter : Je suis éllo, le Vélo de Léo. Déjà là, vous vous dîtes, celui-là, il a un petit vélo dans la tête. Un vélo, ça ne parle pas. Ça roule les mécaniques si on veut, mais ça ne parle pas. De fait, je ne parle pas vraiment mais vous m’entendez à travers les mots que vous êtes en train de lire. Est-ce moi qui écrit ces lignes ? J’en doute fort car pour écrire, il faut pouvoir écrire et ça, c’est pas mon rayon. Disons que quelqu’un lit dans mes pensées et vous les raconte à travers ces lignes. Bien sympa d’ailleurs. Merci machin ! Je dis machin parce qu’il m’a dit que c’était à moi de me présenter et pas à lui. Voilà, je suis le vélo de Léo.


Entendons-nous bien, je suis le vélo de Léo, je ne suis pas Léo. Léo n’est plus là depuis longtemps mais il a laissé son nom un peu partout en France : Léo Lagrange. Ça vous dit quelque chose ? Aux plus anciens peut-être ?
Quoi qu’il en soit, je vous invite à découvrir le personnage qui a fait beaucoup pour la France, à commencer par avoir donné sa vie pour elle car il est mort au combat le 9 juin 1940. Après avoir fait des études de droit et devenu avocat, Monsieur Léo Lagrange est devenu un homme politique. Il a commencé par être député avant d’être nommé sous secrétaire d’État aux Sports et à l’Organisation des loisirs sous le gouvernement du Front Populaire en 1936. Il deviendra ensuite le Président du Comité laïque des auberges de jeunesse. À la déclaration de guerre, en 1939, il rejoindra volontairement le cours des élèves officiers de réserve.
Il disparaîtra à cause d’un éclat d’obus. Pour avoir une idée du personnage, je vous donne l’une de ses citations venue d’un de ses discours en 1936 : « Notre but simple et humain est de permettre aux masses de la jeunesse française de trouver dans la pratique des sports, la joie et la santé et de construire une organisation des loisirs telle que les travailleurs puissent trouver une détente et une récompense à leur dur labeur. » Eh oui, les choses ont bien évolué depuis 1936 et cela grâce a des personnes comme lui. Merci Monsieur.
En 1950, pour lui rendre hommage, Pierre Mauroy, qui deviendra 1er Ministre sous François Mitterrand, fondera les premiers clubs Léo-Lagrange qui se regroupent encore aujourd’hui via la Fédération Léo-Lagrange. Il se trouve que, comme par hasard, il existe un Club Léo Lagrange à Saint-Dizier comme il en existe 337 sur le territoire. Je suis le vélo de ce Léo là, celui de Saint-Dizier en Haute-Marne, dans la Région Grand Est, qui a été créé sous l’impulsion de Monsieur André Gerbault en 1964.


Me voici donc présenté mais je pense que vous ne me connaissez pas bien encore. Vous apprendrez à me connaître davantage si vous vous donnez la peine de suivre mes aventures car je compte bien en avoir beaucoup. Alors j’ai réfléchi à plusieurs solutions pour vous parler. Il faut vivre avec son temps alors il y aura sûrement les réseaux sociaux sur lesquels vous pourrez me voir et me suivre mais je suis un peu vieux jeux et, pour moi, le meilleur moyen de me connaître sera de me lire. Je me suis dit « faisons un journal » avant de me dire « et pourquoi pas un livre ? ». Quoi comme livre ? Un roman ? Non, un roman, c’est de la fiction. Moi, je veux de la réalité ! Ah oui, je vous entend : « Parce qu’un vélo qui parle, c’est la réalité peut-être ? » Alors oui, bon, pas tout à fait. N’empêche que j’existe vraiment. Machin m’a même rencontré aujourd’hui.
Il faut dire que je suis encore au magasin avec 0 km au compteur. Bon, il faut dire que je n’ai pas de compteur. N’empêche, je suis tout neuf et on m’a accroché une splendide remorque, toute neuve également. J’attends que Machin vienne me chercher, demain sûrement. Juste une histoire de béquille à récupérer et à moi l’aventure ! 


Pour en revenir au livre, je suis d’accord, ça fait un peu peur. Mais je vais le jouer moderne comme s’il s’agissait d’une série Netflix avec 7 ou 8 épisodes par saison que l’on aime bien regarder d’un coup lors d’un week-end pluvieux. On va donc commencer tranquille avec le premier épisode de la saison 1 mais il ne faudra pas se louper. Si on n’accroche pas dans les premières minutes, c’est foutu. Mais qui ne tente rien…

Bien, vous avez passé la première page, c’est un bon début. Je ne peux que vous encourager à poursuivre la lecture. Qui sait ? Peut-être qu’un jour, vous ferez vous-même partie de l’histoire. Jusqu’à présent, vous entendez parler de moi mais mon but dans l’histoire, c’est de parler de vous. Laisser moi encore quelques lignes pour continuer à me présenter et, dès l’épisode suivant, je me consacre à vous. Promis ! Alors, je suis un vélo, certes, mais pas n’importe lequel. Figurez-vous que j’ai ma propre énergie pour avancer. Comme tout vélo, j’ai besoin de quelqu’un pour appuyer sur les pédales et me diriger mais, si on me le demande, je me sers de ma propre énergie. Je ne dit pas que je n’ai pas un coup de pompe de temps en temps mais il suffit de me brancher sur une prise électrique et hop, ça repart ! Je suis trop fort ! 


Là, vous vous dîtes : »Il a les pneus qui gonflent celui-là ! C’est juste un vélo quoi. » Mais non, pas du tout, je ne suis pas un simple vélo de promenade, je suis un porteur de bonheur ! Il est où le bonheur ? Il est où ? Mais dans ma remorque bien sûr ! Ah oui, la remorque, je ne vous en ai pas encore parlé. C’est ma partenaire. C’est moi qui vais vous en parler car elle, elle ne parle pas. C’est une remorque quand même. Alors, comme moi, elle est toute neuve et n’attend plus qu’on la remplisse. Apparemment, elle peut porter jusqu’à 45 kg mais peut-être se vante t’elle un peu ? Et donc, en principe, ma remorque se remplit de bonheurs. Alors, pour être honnête, ce sera des petits bonheurs qui ne pèsent pas trop lourd. C’est quand même moi qui la tire ! Bon, reste à savoir qui pédale et remplit la remorque ? Pour cela, il faut revenir à Léo mais à Léo du Club Léo Lagrange de Saint-Dizier. Le « Léo » pourra être n’importe qui. Vous peut-être ! Qui sait ? A priori, il devrait être adhérent du Club. Il se pourrait même que ce soit un responsable de section. « Ouh là ! Attendez, c’est quoi un responsable de section ? » Ah oui, il faut sans doute vous raconter comment fonctionne notre Club Léo Lagrange de Saint-Dizier, c’est la base ! 


Bon, restez un peu concentré mais n’oubliez-pas d’éteindre le gaz si vous faites chauffer le lait. Voilà. J’en été où moi ? Ah oui : notre Club Léo Lagrange ? Eh bien, il s’agit d’une association 1901, c’est à dire sans but lucratif, avec un Conseil d’Administration composé d’une vingtaine de personnes bénévoles pour prendre des décisions concernant la vie du Club et, croyez-moi, il y en a de la vie dans ce Club qui compte aujourd’hui plus de 800 adhérents et une trentaine de sections. Afin d’aider le Conseil d’Administration à s’occuper du Club, une équipe de professionnels est à leur service afin de permettre à tous les adhérents de profiter au mieux des multiples activités qu’ils peuvent trouver.  Ah oui, au fait, si vous cherchez le Club, il faut vous rendre au 10 avenue de la République, près de l’hôtel de ville et rentrer dans une cour. Attention, il y a une barrière ! Il est préférable de vous garer avant si vous arrivez en voiture. Mais que cela ne vous empêche pas de venir, tout le monde vous attend ! 



Alors, on s’arrête là pour aujourd’hui mais si vous me croisez un de ces jours sur un chemin, n’hésitez pas à venir me demander la suite de l’histoire. J’en serai ravi. 


Chapitre 1 - épisode 2



 24 août 2025


Hello ! C’est moi élo, le vélo de Léo. Je suis encore tout excité car je ne suis pas peu fier de vous annoncer que j’ai pu participer à ma première aventure ! Cela s’est passé le dimanche 24 août 2025 au parc du Deauville sous un beau soleil.

Pour cela, il a fallu me sortir du magasin et c’est Alain Tamisier, le Président du Club Léo Lagrange lui-même qui s’y est collé. Il ne semblait pas très serein car c’était la première fois qu’il pilotait un vélo électrique. Pourtant, je ne suis pas quelqu’un de très compliqué. J’ai mes 6 vitesses « classiques » sur la poignée droite qui sont reliées aux plateaux entraînant ma chaîne, et mes 3 vitesses « électriques » sur la poignée gauche qui me font avancer comme par magie. C’est sans doute ces dernières qui ont dû lui faire peur. De fait, il faut pouvoir me maîtriser car si on me lance directement sur la troisième vitesse électrique, un seul coup de pédale peut me lancer à plus de 30 km heure. Je vole !

Bon, il est resté prudent d’autant que ma remorque était accrochée à ma roue arrière. Il ne m’a pas emmené directement dans ce qui devrait être ma maison, le Club Léo Lagrange de Saint-Dizier mais au Pôle associatif de Vergy inauguré en 2018.

D’après ce que je sais, il s’agit d’un ensemble de bâtiments qui étaient, à l’origine, les anciens ateliers municipaux. Ceux-ci ont été déménagé en 2012 sur l’ancienne bonneterie « Devanlay » qui fabriquait, entre autres, les fameux « Polo Lacoste » elle-même fermée en 2000. Bref, ce fut le jeu de chaises musicales pour qu’à la fin, une trentaine d’associations de la ville s’implantent dans ce lieu.

Parmi elle, l’association « Ensemble pour Jouer » dont s’occupe également Alain Tamisier. Le Club Léo Lagrange et Ensemble pour Jouer (EPJ) sont partenaires depuis une quinzaine d’années. A l’époque, EPJ, créé en 2003, possédait des jeux mais n’avait pas de lieu pour faire jouer. L’association ne faisait que le prêt de jeu. Son objectif était de mettre en relation personnes valides et personnes en situation de handicap avec le jeu comme vecteur. Alain étant lui même éducateur de profession, il était persuadé que le jeu avait cette facilité de favoriser les échanges entre les deux publics. Le handicap, en général, fait peur. On s’en détourne ou on s’en moque parce que les valides ne souhaitent pas s’y confronter ou ne savent pas comment aborder les personnes en situation de handicap. L’idée était de rassembler les deux publics en jouant ensemble, d’où son nom « Ensemble pour Jouer ».

Pour que cela fonctionne, il fallait trouver des jeux accessibles au plus grand nombre, ce qui n’est pas le plus simple. 2003 était « l’année européenne du handicap ». Un appel à projet visant à promouvoir les échanges était lancé mais il était destiné aux associations. Alain s’est donc entouré de camarades à lui pour constituer l’association qu’il dirige encore aujourd’hui. Au départ, les adhérents d’EPJ étaient tous institutionnels comme les associations, les IME, les Foyers de vie, les écoles ou les EHPAD mais au bout d’une dizaine d’années de fonctionnement, les adhésions étaient aussi proposées aux familles avec la mise en place d’une ludothèque, c’est à dire d’un lieu ou l’on va chercher des jeux comme on va chercher des livres dans une bibliothèque.

La ludothèque d’EPJ s’est tout d’abord installée rue François 1er dans un studio loué auprès de l’OPH avant de se retrouver au Pôle associatif de Vergy. Encore aujourd’hui, les locaux mis à disposition pour EPJ par la Ville, ne permettent pas de jouer sur place, ou uniquement en petit comité. Pour autant, Ensemble pour Jouer, ne propose pas que du « prêt », loin s’en faut, mais aussi de « l’animation ».

Ses bénévoles interviennent quasiment toute l’année pour présenter eux-mêmes leurs jeux à travers des manifestations comme les « bouge ton quartier », « loto pour enfants », « escape game », « chasses au trésor » et j’en passe. Le Club Léo sollicite également EPJ à de nombreuses reprises comme pour ses « Pass Quartier » ou ses « éveil et jeux ». Je pense qu’on y reviendra. Je vous expliquerai ces animations en détail.

Bien. Je suis donc arrivé au Pôle associatif. Il y avait là une grande cour qui donne sur un parking d’une cinquantaine de places entouré de plusieurs bâtiments. Je m’arrêtai dès l’entrée pour me rendre sur le premier bâtiment à gauche. C’est le plus imposant avec un étage. Cet étage faisait déjà office, depuis plus de 10 ans, de lieu d’accueil pour des associations tel que la boxe, le billard et le tennis de table. Il s’agissait du complexe Roger Michelot, du nom de notre Champion Olympique de boxe des JO de Berlin en 1936. L’emplacement existe toujours mais la boxe a déménagé sur un autre bâtiment du Pôle associatif. Il est question, pour cet étage, de réaliser un nouvel aménagement dans l’avenir afin d’accueillir d’autres associations. En ce qui concerne toute la partie basse du bâtiment, tout l’existant a été détruit et repensé sur plan pour en recevoir une dizaine à vocations diverses de type artistiques (danses, peintures, poterie, chorales, harmonies, …), ludiques ou solidaires (resto du cœur, croix rouge, amnisty international, …).
L’idée a été de mettre aux normes les différentes salles et de mutualiser les moyens avec plusieurs salles de réunion et des toilettes accessibles au personnes à mobilité réduite. Ainsi, toutes ces associations qui étaient éparpillées dans différents lieux de la ville, dans des endroits pas toujours adaptés ni aux normes de sécurité, pouvaient bénéficier de nouveaux locaux pour davantage de visibilité ainsi qu’un stationnement simplifié. Certaines de ces associations ont quand même un peu grincé des dents car elles perdaient en surface d’accueil ou de stockage. Pour autant, elles arrivaient dans des locaux flambant neuf avec de nombreux avantages.



Aujourd’hui, ce Pôle associatif dans son ensemble joue pleinement son rôle avec l’accueil de centaines de personnes venues chercher un loisir ou du soutien. D’après ce qu’on m’a laissé entendre, il n’est pas impossible que je croise une bonne partie des associations présentes lors de mes prochaines aventures. Je vous en dirai plus à ce moment là. Pour l’heure, il est question de l’association « Ensemble pour Jouer » qui m’a reçu dans sa ludothèque. Il me fallait donc rentrer dans le premier bâtiment, passer le hall et ouvrir la deuxième porte à gauche. J’arrivai ainsi dans une grande salle d’environ 8 mètres sur 4 qui, au premier abord, a de quoi surprendre. En effet, à droite, en face et à gauche, on trouvait des étagères recevant des centaines de boites de jeux. C’était un peu la caverne d’Ali Baba pour les enfants ! Il y avait même un petit espace de jeux pour les petits avec tente « piscine à balles », tapis, grosses peluches, jeux d’éveil et petite bibliothèque. Je me demandai même s’il y allait avoir suffisamment de place pour moi et ma remorque. En tout cas, Alain a essayé de m’y caser. Il a eu beau faire attention, il m’a quand même accroché avec la piscine à balles !

Bon, au bout du compte, j’ai réussi à m’installer. Je voulais quand même bien savoir ce que je faisais là ? Nous sommes d’accord, je suis le vélo de Léo, pas celui d’EPJ.

Alors Alain m’expliqua ce pour quoi on avait décidé de m’amener là. Il s’agissait d’un test. Quoi ? Mais j’avais rien à voir avec le COVID, moi ! En fait, il ne s’agissait pas de ce test là. Il était question de voir si l’idée du Club Léo Lagrange avait des chances de fonctionner. Quelle idée ? Et donc, Alain m’expliqua de quoi il en retournai. L’idée est que, moi élo, muni de ma remorque, je sillonne les rues et les chemins de la Ville et des environs afin de promouvoir les activités du Club.


Alors comment moi, un vélo, je pouvais arriver à ça ? Et voilà que l’on me précisa les choses :

→ Libre à mon Léo de circuler et de s’arrêter où bon lui semble, quand bon lui semble, afin de trouver un spot où un public potentiel serait présent. Potentiel car le monde sur place ne s’attend pas à ce qui va leur être proposé. Il adhérera ou pas.

→ Libre à mon Léo de proposer l’animation qu’il souhaite et sa durée.

→ Libre à mon Léo d’animer seul ou de faire appel à d’autres pour co-animer avec lui.

L’idée se base sur mon utilisation pour qu’un « Léo » se rende au devant du public, dans des lieux pas forcément accessible aux voitures comme les parcs publiques. Du coup, lorsque j’arrive avec ma remorque, je crée l’attention. Il est même question que mon arrivée se fasse en musique afin que les regards se tournent vers moi. On m’a dit même dit qu’une chanson originale me concernant a été créée spécialement pour moi. Quel honneur !


Bon alors, ce test ? Pourquoi me faire venir à la ludothèque d’Ensemble pour Jouer alors qu’il s’agit d’un test pour le Club Léo Lagrange ? Pour tout vous dire, Alain a beau avoir été élu Président du Club Léo Lagrange, il n’y a pas monté de section car côté animation, il a déjà fort à faire avec EPJ.

Son idée était de proposer une animation tout en se disant que peu importe le support, une section pourrait transporter son propre matériel grâce à ma remorque comme il allait le faire pour l’animation du jour. Restait à voir si cela allait fonctionner ?


Et donc, Alain avait son plan : Charger ma remorque de chapeaux de pirates, de masques de monstres, d’épées, d’un « cheval bâton » et même d’un « coffre au trésor » ! Autre élément important : un livre. Vous le voyez venir, il allait certainement proposer une histoire sous une forme théâtrale. Mais, on est d’accord, il n’allait quand même pas monter une troupe de théâtre à lui tout seul ? J’allais bientôt savoir à quoi tout cela allait ressembler.


Ma remorque était chargée au taquet. Par dessus, couché, il y avait même un présentoir avec des feuilles A3 plastifiée qui reprenaient les illustrations du livre utilisé : « Jules, le chevalier agaçant » de Geoffroy de Pennart. Derrière ma remorque, déjà munie d’un drapeau, Alain me paraît également d’une girouette multicolore, bien sûr dans l’intention de me faire remarquer. Je quittais ainsi la ludothèque pour me rendre à un petit kilomètre de là, au parc du Deauville.


Le parc du Deauville, c’est toute une histoire à Saint-Dizier.


Mes aventures

1.

Mon adoption

2.

Le parc du Deauville

3.

à venir

4.

Enjoy!